[Publication] Livre blanc "Générosité privée & associations vers de nouvelles relations" - IFMA

Livre blanc de l'IFMA

L’Institut français du Monde associatif publie un Livre blanc pour guider la recherche en réponse aux besoins de connaissances des associations et des acteurs de la générosité privée. 

L’Institut IDEAS est heureux d’avoir contribué à ces travaux.

Constat de l'Institut français du Monde associatif

Dans un contexte d’évolution des ressources financières associatives, la générosité privée occupe une place croissante dans les projets associatifs même si les volumes financiers consentis évoluent lentement en moyenne, en France. Pourtant, les travaux de recherche français sur la philanthropie et sur les associations n’abordent que trop peu, à l’intersection de ces deux domaines, les relations entre générosité privée et monde associatif. De leur côté, les acteurs témoignent d’une grande méconnaissance entre secteur associatif et secteur de la générosité privée, mais aussi d’un manque de reconnaissance de leur contribution commune à la société et à la démocratie.

Fruit d'un travail collaboratif

Ces constats ont décidé l’Institut français du Monde associatif à lancer un groupe de travail réunissant 44 acteurs et chercheurs pour explorer les besoins de connaissance sur cette thématique de la relation entre générosité privée et associations.

L’Institut IDEAS est heureux d’avoir partagé son expérience, avec la contribution notamment de Suzanne Chami, Déléguée générale. 

Un outil de réflexion et d'action

Ce livre blanc est un outil de réflexion dont pourront se saisir les professionnels et les institutions souhaitant s’engager dans une démarche de connaissance afin de renforcer les relations entre générosité privée et monde associatif.

Il est aussi un guide pour susciter de futures recherches en réponse aux besoins des acteurs. Ces recherches sont attendues par les acteurs associatifs et de la générosité privée pour renforcer leurs écosystèmes et faire levier sur les métiers, les stratégies, les plaidoyers et améliorer le dialogue avec les pouvoirs publics.

Sommaire du Livre blanc

Définitions et périmètre

– Monde associatif et générosité privée : quelques repères clés
– Trois choix structurants pour la réflexion

Premiers éléments de revue de littérature académique et professionnelle

– Quelques éléments d’état de l’art de la recherche sur le don, la philanthropie et le mécénat
– Partir d’enjeux de recherche sur le fait associatif pour questionner la relation associations/générosité privée
– La question de la relation : d’un impensé de la recherche académique à la proposition d’un chemin de questionnements pour la recherche

Les enjeux de connaissance et thématiques de recherche 

– Pour une lecture “ouverte” de la relation générosité privée/associations
– Monde associatif et générosité privée : entre dépendances, interdépendances et risques
– La place de la générosité privée dans les modèles socio-économiques associatifs
– L’évaluation au cœur de la relation
– Quelle contribution commune à la démocratie ?

 

Webinaire

"Générosité privée et associations : vers de nouvelles relations"

organisé par l'Institut français du Monde associatif

Mardi 8 avril 2025

17h-18h30

Inscription

[25/03] Participez au colloque sur les libertés associatives au Théâtre de la Concorde

Le Conseil Parisien des Associations et la Ville de Paris vous convient à une soirée dédiée à la défense des libertés associatives

Rendez-vous mercredi le 25 mars de 18h à 20h30

au Théâtre de la Concorde

Grand Colloque sur les libertés associatives : Associations menacées, démocratie en danger

Depuis quelques années, de nombreuses voix s’élèvent pour dénoncer les atteintes auxquelles les associations font face.
Si leur apport à la vie sociale, économique et démocratique française est indéniable, nombreuses sont les structures associatives et les chercheurs et experts concernés à déplorer une restriction des libertés associatives par l’État.
Face à ce phénomène, la résistance s’organise afin de déjouer cette tendance délétère.

Pour décrypter ces enjeux, répondre à l’ensemble de ces questions et penser aux moyens de résister, le Conseil Parisien des Associations et la Ville de Paris vous convient à une soirée dédiée le 25 mars de 18h à 20h30 au Théâtre de la Concorde.

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conférence AFF 2025

[13/03] Intervention de l'Institut IDEAS à la 19e conférence fundraising dans l'ESR et la santé de l'AFF

19e conférence fundraising dans l'ESR et la santé de l'AFF

L’Association Française des Fundraisers organise sa 19ème conférence fundraising dans l’ESR et la santé les 12 et 13 mars 2025 à Paris.
L’Institut IDEAS est heureux d’animer l’atelier “La cartographie des risques : un outil pour gérer collectivement les risques” lors de ce rendez-vous incontournable des Fundraisers.

Plus d'informations >

Une programmation riche et variée

Le rendez-vous incontournable pour toutes celles et ceux qui œuvrent à développer les ressources privées dans les secteurs de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche, de la Santé et du Médico-Social : 300 professionnels, 60 experts, et un éventail de formats interactifs pendant deux jours : tables rondes stratégiques, ateliers pratiques, master classes immersives… Chaque session est conçue pour offrir des outils concrets, des retours d’expérience inspirants, et des méthodologies innovantes.

Jeudi 13 mars de 14h à 15h30 : Atelier "La cartographie des risques : un outil pour gérer collectivement les risques"

Nous vous proposons un atelier interactif afin de découvrir une méthodologie et un outil puissant qui vous permettront de prévenir les risques majeurs encourus par votre organisation et les impacts que cela peut avoir dans le domaine du fundraising, de l’image et de la réputation de votre organisation.
La cartographie des risques est un exercice qui vous permet d’évaluer au sein de votre une organisation les principaux risques, de définir leur criticité et surtout d’anticiper les réponses collectives à apporter.

*Cartographie des risques : outil réalisé par l’Institut IDEAS

Intervenants :

Catherine Sudres : Fondatrice du cabinet Causes and Co et Administratrice de l’Institut IDEAS
Jean-François Le Page : Conseiller, Pilote de mission et Membre du Comité Expert de l’Institut IDEAS

19e conférence fundraising dans l'ESR et la santé de l'AFF

Du mercredi 12 au jeudi 13 mars 2025

Lieu : FIAP Jean Monnet,

30 rue Cabanis, 75014 Paris

Inscription

#AFF


Le médiateur des entreprises

Le Médiateur des Entreprises : saviez-vous que les associations peuvent aussi se faire accompagner ?

Logo Le Médiateur des Entreprises

Les associations, au même titre que les entreprises et les administrations, peuvent rencontrer des difficultés dans leurs relations contractuelles, qu’il s’agisse de clauses déséquilibrées, de retards de paiement ou encore de ruptures unilatérales de contrat. Pourtant, peu d’entre elles savent qu’elles ont accès à un dispositif public, gratuit et confidentiel : le Médiateur des Entreprises.

Le Médiateur des Entreprises, en bref

Le Médiateur des Entreprises est un service public destiné à tous les acteurs et secteurs économiques. Il propose un service gratuit, neutre et confidentiel qui vient en aide à toute entreprise, association, organisation publique ou privée qui rencontre des difficultés avec une autre entreprise ou collectivité publique.
Son objectif est d’agir de façon concrète et opérationnelle, au plus près des acteurs, pour renforcer la confiance et améliorer le dialogue, selon les principes suivants : confidentialité, neutralité, indépendance, impartialité et loyauté.

Pourquoi solliciter le Médiateur des Entreprises ?

Vous avez un différend avec un autre acteur dans l’exécution d’un contrat ou toute autre situation de tension ? Vous rencontrez des difficultés dans le cadre de la commande publique ? Vous avez un différend avec une administration ou une collectivité publique ?

Les médiations effectuées par le Médiateur des entreprises sont gratuites, rapides et confidentielles. Il s’agit d’une véritable alternative à la voie judiciaire qui permet, en cas de réussite, l’établissement d’une relation de confiance retrouvée grâce au dialogue.

Une médiation en 6 étapes

Etape 1 : Différend

Le Médiateur des entreprises peut être saisi pour tout différend avec une entreprise, une autre association ou une administration.

Etape 2 : Saisine

La saisine du Médiateur consiste à déposer un dossier à partir du formulaire sur le site internet : www.mediateur-des-entreprises.fr

Etape 3 : Contact

Après étude de recevabilité, le médiateur prend contact sous 7 jours et définit un schéma d’action.

Etape 4 : Médiation

Le médiateur participe au rapprochement des intérêts divergents.

Etape 5 : Co-construction

Avec l’aide du médiateur, les médiés élaborent une solution co-construite. 

Etape 6 : Accord

Un accord est trouvé par les deux parties dans 3 cas sur 4.


Guide CFF Fondations abritantes

[Publication] Guide Pratique à destination des fondations abritantes - CFF

Parution Guide Pratique CFF Fondations abritantes

Le CFF publie un Guide pratique sur le pilotage, la gestion et le suivi des fondations abritées. Il dresse un panorama de l’ensemble des étapes de la vie d’une fondation sous égide, rappelle la règlementation applicable, et met en lumière les bonnes pratiques remontées par les participants au groupe de travail. 

L’Institut IDEAS est heureux d’avoir contribué à ces travaux utiles à la professionnalisation du secteur.

Faisant le constat de la rareté de la littérature sur ce sujet, et soucieux de contribuer à la professionnalisation du secteur, le Centre français des Fonds et Fondations a initié en 2022 une réflexion sur les bonnes pratiques dans l’activité d’abritement par la création d’un groupe de travail dédié.

Fruit d'un travail collaboratif

Ces travaux ont rassemblé près de 35 fondations et partenaires du secteur, et ont permis de faire un état des lieux des recommandations et points d’attention formulés par les pouvoirs publics au cours des dernières années, de les confronter aux problématiques rencontrées par les organisations du secteur, et enfin d’identifier et de partager les bonnes pratiques.

Grâce à l’implication de Christine Aubriet et d’Henri Lejetté, l’Institut IDEAS est heureux d’avoir partagé son expérience, issue de 20 ans d’accompagnement à la montée en compétences des associations, fondations, et fonds de dotation.

Un outil concret

Suite logique de ces travaux, le « Guide pratique à destination des fondations abritantes : pilotage, gestion et suivi des fondations abritées » dresse un panorama de l’ensemble des étapes de la vie d’une fondation sous égide, rappelle la règlementation applicable, et met en lumière les bonnes pratiques remontées par les participants au groupe de travail.  

Il a vocation à aider les bénévoles et les professionnels de ces fondations, ainsi que les porteurs de projets philanthropiques souhaitant améliorer leur compréhension des enjeux liés à l’abritement.

Sommaire du Guide

Création des fondations abritées et rôle de l’organe de gouvernance

1/ Mise en place des fondations abritées
– Notion de fondation ayant la capacité d’abriter
– Création et dissolution des fondations abritées
– Spécificités liées à la nature des fondateurs
– Textes et documents fixant le cadre de l’abritement

2/ Gestion des fondations abritées
– Rôle de l’organe de gouvernance et suivi de l’activité des abritées
– Frais de gestion appliqués à la fondation abritée

Relation fondation abritante/abritée

– Composition et fonctionnement de l’organe
d’administration des fondations abritées
– Prévention et gestion des conflits d’intérêts
– Délégations

Suivi de l’activité et accompagnement des abritées

– Accompagnement des fondateurs et animation
du réseau d’abritées
– Reporting de l’activité des fondations abritées et remise d’un rapport spécial

Consulter le Guide

Campagne 2025 #SuperPouvoirDuDon

Nouvelle campagne 2025 #SuperPouvoirDuDon

Découvrez et relayez la nouvelle campagne de France générosités

qui vise à sensibiliser le grand public sur son pouvoir d’agir.


Article Jurisassociation Yannick Blanc

"Philanthropie d’utilité publique" par Yannick Blanc

Découvrez l’article de Yannick Blanc, Président du Comité Label IDEAS pour le dossier “Mécénat” de JurisAssociations n°704

"Philanthropie d'utilité publique"

Face aux besoins grandissants d’engagement des citoyens et des acteurs privés pour répondre aux enjeux de la société et de la planète, les procédures existantes pour qualifier un projet ou une action d’intérêt général sont obsolètes. Il faut redonner sa juste place à la délibération sur l’intérêt général dans le processus législatif.

Le juge recourt à la notion d’intérêt général lorsqu’il doit qualifier une situation pour arbitrer un conflit de normes, notamment un conflit entre un droit fondamental attaché à l’individu et une norme législative d’intérêt collectif ou renvoyant à l’activité de l’État : service public, travaux publics, ordre public, domaine public. « Le juge n’évoque pas l’intérêt général lorsque cela n’apporterait rien à sa décision ou à son argumentation ; il s’appuie en revanche sur lui lorsqu’il manque d’éléments juridiques pour rendre et sans doute plus encore pour motiver sa décision. » L’intérêt général se présente comme un « régulateur » au sens littéral du terme, c’est-à-dire comme un instrument permettant de faire varier l’intensité avec laquelle on applique la norme. Il ne sert donc pas à définir, mais à apprécier.

Le champ d’utilité publique

La notion d’utilité publique intervient dans deux procédures qui n’ont apparemment aucun rapport entre elles, mais qui sont en réalité rigoureusement symétriques : la déclaration d’utilité publique (DUP) et la reconnaissance d’utilité publique (RUP). La première permet de donner un fondement légal à l’expropriation afin de construire un ouvrage public. Elle consiste à faire la démonstration que l’utilité collective d’un ouvrage prévaut sur la garantie constitutionnelle du droit de propriété et, plus largement, sur les intérêts qui pourraient s’estimer lésés par cet ouvrage : « Elle a désormais pour fonction primordiale de consacrer en tant que tel l’intérêt général qui s’attache à la réalisation d’un projet. » La seconde est l’acte juridique qui incorpore une personne morale de droit privé au champ de l’action publique, ce qui lui permet notamment de faire prévaloir son droit sur celui des héritiers. Dans la DUP, le propriétaire privé s’incline devant l’utilité publique, moyennant une juste indemnisation ; dans la RUP, la puissance publique s’incline devant l’initiative privée, moyennant le respect par celle-ci de certaines règles. Il s’agit dans les deux cas d’un décret en Conseil d’État, l’intervention de la haute assemblée qualifiant a priori l’intérêt général d’un projet que le juge administratif apprécie a posteriori.

Les limites de l’appréciation administrative et de l’encadrement fiscal

C’est donc très abusivement que l’on appelle « reconnaissance d’intérêt général » le rescrit délivré par l’administration fiscale. Les articles 200 et 238 bis du code général des impôts (CGI) ne « définissent » d’ailleurs pas l’intérêt général, mais identifient trois critères (non-lucrativité, gestion désintéressée, non-restriction de la qualité de bénéficiaire) et douze domaines d’action (philanthropique, éducatif, scientifique, social, humanitaire, sportif, familial, culturel, patrimoine artistique, égalité femmes-hommes, environnement naturel, langue et culture françaises) qui s’ajoutent au caractère d’intérêt général non défini pour permettre la déductibilité fiscale des dons.

La démarche du juge administratif et celle de la législation fiscale sont donc diamétralement opposées : le premier qualifie au cas par cas l’intérêt général d’un projet en fonction de son utilité pour le bien commun tandis que la seconde énonce une série de critères limitant a priori cette capacité d’appréciation. On comprend que le besoin de sécurité fiscale suscite la demande d’une définition légale de l’intérêt général, mais celle-ci est vouée à l’échec, le législateur ne pouvant octroyer un pouvoir d’appréciation sans limites à l’administration fiscale. Comment sortir de ce dilemme ?

Qu’il s’agisse de philanthropie, d’initiative citoyenne ou d’entrepreneuriat social, l’appréciation de l’intérêt général n’a d’effet utile que si elle est tournée vers l’avenir en s’appliquant à un projet et, dans une large mesure, à des modalités d’action nouvelles. Pour cette raison, elle ne devrait être confiée ni au juge, qui a vocation à intervenir après coup, ni à l’administration, toujours anxieuse de ne pas créer de précédent qui pourrait la lier, a fortiori à l’administration fiscale dont la mission est de veiller au grain et non de faire preuve d’audace.

Le besoin d’innovation pour changer de modèle philanthropique 

La transition écologique, le vieillissement démographique, les besoins en santé publique ou en éducation sont à l’évidence des enjeux essentiels d’intérêt général de notre époque. Leur ampleur et leur complexité défient les modalités classiques de l’action collective, comme le montrent les échecs ou les insuffisances de la fiscalité (taxe carbone), des normes réglementaires (agriculture), ou de la gestion par la performance (crise d’attractivité des métiers du lien et du soin). La société a, dans ce domaine, un besoin vital d’explorations et d’innovations se situant aux limites de l’action publique, de l’initiative citoyenne et du projet entrepreneurial. L’État doit répondre à ce besoin sous contrainte budgétaire. Puisqu’il est question de déroger à des règles établies et de fiscalité, c’est au législateur qu’il revient d’encourager mais aussi de contrôler ces innovations, comme il l’a fait avec l’expérience « Territoires zéro chômeur de longue durée » (TZCLD) en autorisant, pour une durée déterminée, à déroger à l’affectation des crédits d’indemnisation du chômage sur un nombre limité de territoires, moyennant un dispositif rigoureux de suivi et d’évaluation de l’expérimentation.

Prenant appui sur le succès de cette expérience, le pouvoir législatif pourrait en élargir la logique en adoptant, à la façon d’une loi de programmation pluriannuelle, un texte fixant pour une période de trois ou cinq ans une liste « d’objectifs d’utilité publique » gérés sous forme d’appels à manifestation d’intérêt (AMI) qui donneraient à leurs lauréats la garantie, pour une durée déterminée mais renouvelable, d’un régime d’exonération fiscale sous conditions de transparence et d’évaluation. Il s’agit ici de tirer simultanément les leçons de la dynamique encore inachevée des objectifs de développement durable (ODD), de celle du crédit d’impôt recherche (CIR), efficace mais insuffisamment contrôlé, et de celle de TZCLD évoquée plus haut.

Plutôt que de vouloir à tout prix limiter la dépense fiscale générée par les actions d’intérêt général – ce qui revient à considérer qu’il ne faut pas trop en faire pour le bien commun –, il paraît plus pertinent, dans la perspective de rigueur budgétaire qui s’annonce, d’organiser la délibération collective sur les contributions alternatives à l’impôt.

Yannick Blanc,

Vice-président de La Fonda

Président du Comité Label IDEAS

Article paru dans le dossier “Mécénat – Qui ne risque rien…” du JurisAssociations n°704 de septembre 2024.

Plus d'informations sur Juris Associations

bonne année 2025

L'Institut IDEAS vous souhaite une bonne année 2025 !

Bonne année 2025

En 2025, l’Institut IDEAS célèbre 20 ans d’accompagnement et de valorisation des acteurs de l’intérêt général : associations, fondations, fonds de dotation, mécènes et philanthropes.

Il y a 20 ans, l’Institut IDEAS bâtissait les conditions du dialogue fructueux entre trois univers : les acteurs de la solidarité, leurs financeurs, publics et privés, et les institutions du contrôle.

De ces regards croisés sont nés plusieurs dispositifs innovants pour soutenir la montée en compétence des personnes engagées dans les organismes à but non-lucratifs :

  • le Guide IDEAS des bonnes pratiques,
  • une démarche d’accompagnement à l’amélioration continue,
  • des outils pédagogiques accessibles à tous,
  • un programme de recherche participative,
  • et le Label IDEAS, pour valoriser la qualité et l’exigence des associations, fondations et fonds de dotation.

Grâce à l’engagement des 180 conseillers bénévoles, de nos fondateurs, de nos partenaires et de nos financeurs, nous poursuivrons ensemble notre mission : renforcer la capacité d’action des acteurs de l’intérêt général !

MERCI

Nous vous donnons rendez-vous en 2025 pour célébrer notre anniversaire !


Prix les Waldeck

Candidatez à la 3ème édition du Prix LES WALDECK du Mouvement Associatif

Prix les Waldeck

L’Institut IDEAS, membre du jury, vous invite à mettre en avant vos initiatives en candidatant à la 3ème édition du Prix Waldeck du Mouvement Associatif.

Saisissez cette opportunité unique pour valoriser votre engagement et rejoindre les lauréats des Waldeck. 

Les Waldeck, Prix du Mouvement associatif ont pour objectif de valoriser et promouvoir la transformation des pratiques internes des associations.

Cette année, les associations seront primées dans 5 catégories :

– Emploi,

– Engagement,

– Coopérations plurielles,

– Pratiques numériques

– Transformation écologique (cette nouvelle catégorie a été développée en collaboration avec ESS France et France Nature Environnement)

À la clé

Pour les 5 associations lauréates : de la visibilité, des ressources et une dotation de 5000 euros

Pour les 25 pratiques les plus inspirantes : une valorisation de la pratique dans une publication du Mouvement associatif

Pour toutes les associations candidates : un temps d’accompagnement (rencontre avec des partenaires, ateliers de formation, échanges entre pairs)

Calendrier

16 février 2025 : Date limite de dépôt des dossiers de candidature

31 mars 2025 : Etude des candidatures par le jury

Mai 2025 : Remise des prix lors d’un événement dédié à Paris

Dossier de candidature

Vous avez jusqu’au 16 février 2025 pour candidater.

Le Mouvement Associatif, en bref

Le Mouvement associatif, porte-voix du monde associatif en France, fédère plus de 600 000 associations. Son rôle est de favoriser le développement d’une force associative utile et créative pour que les associations prennent toute leur part à la construction d’un avenir plus solidaire et plus juste.


[Appel à candidatures] Rejoignez la 2e promotion de l'Accélérateur du Philanthro-Lab

Le Philanthro-Lab lance un appel à candidatures pour sélectionner la 2e promotion de l’Accélérateur, programme d’accompagnement destiné à soutenir la professionnalisation de responsables associatifs. 

L’Institut IDEAS est heureux d’être l’un des partenaires-experts de cet Accélérateur.

Vous êtes un dirigeant ou une dirigeante d’association ou de fonds de dotation opérateur?

Vous souhaitez monter en compétences et renforcer les capacités d’actions de votre structure?

L’Accélérateur :

Fort du succès de son Incubateur, le programme d’accélération a été conçu pour permettre à 10 dirigeant.e.s d’associations ou de fonds de dotation opérateurs, de bénéficier d’un parcours collectif intensif de formation et de conseil pour monter en compétences, sécuriser leurs modèles et initier le changement d’échelle et/ou l’essaimage de leurs projets.

D’une durée de 4 mois en présentiel, le programme est gratuit et ouvert à toutes les causes d’intérêt général (à l’exclusion des causes politiques et religieuses). Il s’adresse à des structures éligibles au mécénat, actives depuis 2 ans minimum et dont le budget annuel est compris entre 300k€ et 1,5M€.

Informations et candidature >

Vous avez jusqu’au 12 janvier 2025 pour répondre à l’appel.

Le Philanthro-Lab, en bref

Le Philanthro-Lab est implanté au sein de l’Hôtel de la Bûcherie, dans le 5e arrondissement de Paris. Sa vocation est d’être un lieu de rencontres et d’expérimentations regroupant des dizaines d’acteurs associatifs et philanthropiques réunis par l’envie de développer la culture du don et de l’engagement sous toutes ses formes. Avec son programme d’incubation, il agit aux côtés d’acteurs engagés dans l’émergence, le développement et la pérennisation de projets associatifs.