L’ADEMA : un programme de formation en management associatif
L’ADEMA propose en 2021, avec son partenaire Mines ParisTech Exécutive Education, des formations en 100% digital. Les contenus ont été retravaillés pour ce media en ayant le souci de conserver une approche très concrète basée sur des cas pratiques. Ainsi, pour chaque module de formation, il est proposé aux stagiaires un cas pratique à réaliser en inter-sessions. Chaque module est constitué de 6 sessions de formation de 2h en visio.
L’ADEMA, à travers ses formations, a pour objectifs d’accroître la professionnalisation des responsables pour renforcer les fonctions de solidarité, d’innovation sociale et de réfection du tissu social propres aux organisations associatives.
Les organismes accompagnés par l’Institut IDEAS bénéficient de conditions préférentielles. Contactez-nous
Programme 2021
Construire sa stratégie en s’appuyant sur un projet associatif et une gouvernance robuste
Entre le 9 mars et le 27 avril
Renforcer son association en recrutant et manageant efficacement les équipes salariées et bénévoles
Entre le 18 mai et le 6 juillet
Sécuriser son association au regard du modèle sosio-économique et du risque civil, pénal et social
Entre le 21 septembre et le 10 novembre
Communiquer efficacement pour le projet associatif et développer les ressources
Entre le 15 novembre et le 22 décembre
[19/03] Formation "devenir administrateur d'une association" par l'IEDH
L'IEDH, partenaire de l'Institut IDEAS, organise une journée de formation à destination des nouveaux ou futurs administrateurs d'association.
L'objectif de ce stage est de permettre de définir la mission de membre du conseil d'administration dans l'association et de distinguer les missions et les périmètres d’intervention de ses différentes instances. Aussi, il permettra d'appréhender le juste positionnement vis-à-vis des acteurs de terrain, bénévoles, salariés, bénéficiaires.
“Devenir administrateur d'une association“
Vendredi 19 Mars 2021 à Paris
Intervant : Sandrine DUSONCHET, formatrice IEDH
Les organismes accompagnés par l’Institut IDEAS bénéficient de conditions préférentielles. Contactez-nous
Qu’est-ce qui m’a fait accepter cette mission ? Quelles sont mes motivations à jouer ce rôle ? Suis-je légitime ?
Comment fonctionne l’association dont je deviens administrateur ?
Quelle est ma mission comme (nouvel) administrateur d’une association ?
Comment porter mes valeurs et mes convictions tout en étant membre d’un collectif animé par une vision/un projet ?
Quelles posture et relation de travail vis-à-vis des salariés en responsabilités, des bénévoles, des partenaires ? vis-à-vis des autres membres du C.A. ?
- Mes leviers de motivations, mes compétences
- Le rôle d’administrateur vs bénévole de terrain, conseiller municipal, administrateur d’entreprise…
- Rôle et fonctionnement du C.A. ( Cf statuts, règlement intérieur, …)
- La dynamique collective d’un conseil d’administration
- L’articulation avec les autres instances (assemblée générale, bureau, comité de direction, …)
- Juste positionnement vis-à-vis des acteurs de terrain, bénévoles, salariés, bénéficiaires ( posture non hiérarchique)
"Soutenir la vie associative et son accompagnement est un impératif vital" par Philippe Jahshan
Credit photo : Coordination SUD
Interview de Philippe Jahshan , président du Mouvement associatif et ancien président de Coordination SUD.
Article paru initialement dans le dossier spécial de Juris Associations n°616 (avril 2020)
Philippe Jahshan, vous présidez Le Mouvement associatif depuis 2016. Pouvez-vous nous présenter le rôle de cette organisation ?
Le Mouvement associatif est la représentation nationale et régionale des associations de France tous secteurs confondus. C’est, à l’origine, le regroupement national des principales coordinations et fédérations associatives, de la culture et du patrimoine, de la famille, de l’éducation populaire, de l’environnement, du sport, du sanitaire et social, de la solidarité internationale, de la défense des droits, du tourisme social ou encore des associations étudiantes. Depuis 2019, il s’est ouvert à toute association nationale en plus de ses composantes fédérées. Il représente directement et indirectement pas moins de 700 000 associations en 2020.
Notre rôle est de porter, de valoriser et d’incarner ce qui fait commun à toutes les associations d’intérêt général, de défendre leur place fondamentale dans la société et de plaider pour des politiques publiques ambitieuses en faveur de la vie associative.
En 2020, on compte 1,5 million d’associations qui mobilisent jusqu’à 20 millions de bénévoles et emploient plus de 1,8 million de salariés. C’est un poids économique de 113 milliards d’euros. Le processus de création associative demeure très dynamique avec environ 70 000 nouvelles associations par an. Le bénévolat s’est fortement accru entre 2013 et 2017, passant de 13 à 20 millions d’individus, et la jeunesse en France fait partie des jeunesses les plus désireuses d’engagement en Europe. Cela se vérifie notamment dans le succès croissant du service civique volontaire qui ne répond qu’au tiers des demandes des jeunes.
Si on ne peut que se réjouir de cette vitalité exceptionnelle à la base, on doit aussi s’inquiéter du fait qu’elle reste très fragile. L’environnement des associations s’est fortement dégradé ces dernières années. Nous assistons à un phénomène de resserrement au sommet, souvent contraint par les nécessités économiques, et le milieu de tableau est en grande souffrance. Les associations sont soumises à des contraintes croissantes et doivent dans le même temps continuer à s’adapter à un environnement très mouvant : instabilités financières et fiscales, concurrence accrue du secteur marchand, mais aussi nouvelles formes d’engagement des citoyens accompagnées de nouvelles exigences.
Quel est le constat du Mouvement associatif sur l’évolution des pratiques associatives au regard des mutations de l’environnement ?
Notre économie a été particulièrement malmenée depuis 15 ans, il faut le dire. De fait, la prédominance du prisme concurrentiel dans l’économie, conjuguée à la baisse des financements publics, a fragilisé les acteurs associatifs, suscitant des tensions de plus en plus dures sur les moyens de concilier l’éthique et le sens du projet associatif, avec les contraintes croissantes de pérennisation des activités. Or, il faut ici rappeler, comme le dit Jean-Louis Laville, que l’économie associative n’obéit pas à une logique d’accumulation ni à un comportement dicté par les calculs de rentabilité et d’utilité individuelle, mais qu’elle met en oeuvre une activité non séparable du collectif dans lequel elle s’insère et reposant sur ses seules richesses, c’est-à-dire sur la force du travail et de l’engagement humain, qui est son premier capital.
Les associations explorent, testent, recherchent et offrent des solutions. Il faut savoir les voir, les accompagner et les aider à fleurir. Soutenir l’accompagnement et l’émergence associative est donc un impératif vital et doit constituer un axe central de nos politiques publiques. Voilà pourquoi Le Mouvement associatif a fait de l’accompagnement un de ses axes stratégiques depuis plusieurs années déjà et que j’ai tenu à réaffirmer lors de ma prise de mandat.
Proposer aux associations des moyens d’accompagnement répondant à leurs spécificités et à leurs enjeux est un levier central à activer. Pour renforcer les dynamiques associatives, leur permettre d’anticiper, de s’adapter et mieux servir les enjeux sociétaux pour lesquels elles agissent. Toute organisation, qu’elle soit publique, privée lucrative ou non lucrative, connaît des temps d’adaptation dans son cycle de vie. Ces transitions sont souvent complexes et nécessitent fréquemment d’avoir recours à un regard externe permettant de prendre le recul nécessaire sur des thématiques qui touchent bien souvent à l’ADN de l’organisation concernée. Les associations ne font pas exception à ce besoin ; il est important qu’elles en aient conscience, tout autant que les financeurs qui souhaitent soutenir le projet qu’elles portent.
Dans ce contexte, la démarche proposée par l’Institut IDEAS au travers de son guide me semble bien répondre à ce besoin d’accompagnement, notamment dans les domaines clés de la gouvernance, de la finance et du pilotage et évaluation.
Le Mouvement associatif plaide pour le déploiement d’une grande politique de soutien à la vie associative et à ses capacités d’initiatives collectives, comme un axe central au coeur du contrat social. Nous avons proposé que cette politique soit établie autour de quatre grands investissements, faisant du Fonds pour le développement de la vie associative (FDVA) un instrument structurel de soutien à la vie associative, tous secteurs confondus, comme un grand fonds d’économie mixte pouvant recueillir des moyens de l’État et des moyens privés, et via une gouvernance partagée avec les représentations associatives, pour permettre :
- l’investissement redoublé pour la formation des bénévoles et pour le soutien à l’emploi associatif ;
- l’investissement pour le développement associatif dans les territoires ;
- l’investissement pour l’accompagnement et la structuration de la vie associative et des têtes de réseau ;
- l’investissement pour l’évaluation et le suivi de qualité.
Nous avons aussi besoin d’une reconnaissance plus grande et plus affirmée des spécificités de notre modèle socio-économique parce que l’économie, pour qu’elle se déploie, doit être comprise dans ce qu’elle est. Nourris par les travaux de recherche et d’outillage de nombreuses structures, nous avons constaté que la diversité des modèles et leur résistance à toute standardisation font force de règle, tout en permettant de faire émerger trois piliers communs et devant être pensés ensemble : celui des leviers financiers, celui des richesses humaines et celui des alliances.
Pour mener à bien leurs missions, les associations doivent aujourd’hui composer avec un environnement et un contexte politique, social, économique et technologique plus complexes, plus durs, qui s’accélèrent et qui sont marqués par de profondes mutations.
Il est temps de rééquilibrer la balance : la libéralisation économique ne peut se penser sans la consolidation dans le même temps des filets de solidarité et de redistribution. Elle ne peut se penser sans la nécessaire garantie démocratique de ce qui est commun à tous et qui fait intérêt général. L’Observatoire des inégalités l’avait déjà pointé dans son rapport de 2017, les inégalités s’accroissent et des territoires entiers ont perdu tout accès aux services publics de base ou aux services médicaux : seules les associations permettent encore de faire lien, en réponse à un sentiment croissant d’injustice et d’isolement. Alors, il faudra continuer à agir pour que, dans le même temps, nous tenions haute l’exigence de responsabilité sociétale qui doit être celle de nos organisations et je veux d’ailleurs me féliciter de l’intégration des exigences de la responsabilité sociétale des organisations par l’Institut IDEAS dans sa nouvelle version de son « Guide des bonnes pratiques », tout en agissant pour rendre pleinement visible la valeur sociétale que nous produisons. Cela pour redonner une pleine place à l’économie associative, comme une économie d’avenir, solidaire et non lucrative, indispensable aux côtés de l’État et du marché.
Entretien avec Isabelle Gougenheim et Suzanne Chami, IDEAS
Article paru initialement dans le dossier spécial de Juris Associations n°616 (avril 2020)
ESS : une plateforme interactive pour identifier toutes les aides disponibles
En liaison avec le Secrétariat d’Etat à l’Economie Sociale, Solidaire et Responsable, la Banque des Territoires a mis en place une plateforme interactive qui permet d'identifier les aides disponibles pour les acteurs de l'ESS.
La plateforme récapitule l’ensemble des aides d’urgence pour chaque type de structure de l’ESS et pour chaque cas :
- le fonds de solidarité
- les reports de charges
- l’activité partielle
- les dispositifs sectoriels ou fonds régionaux
« Le secteur associatif répond pleinement aux enjeux de notre société » rappelle Suzanne Chami
Lors d’une interview pour la Fondation Entreprendre, Suzanne Chami, Déléguée générale de l’Institut IDEAS, est revenue sur le rôle clé des associations et des fondations en période de crise et conclut positivement que « le secteur associatif joue pleinement son rôle dans notre économie, ayons confiance dans sa capacité à répondre aux enjeux de notre société ».
Dans un contexte marqué par l’incertitude, l’Observatoire du Don en Confiance a révélé une baisse généralisée de la confiance, qui atteint les associations et fondations. Ce constat illustre le décalage entre la forte mobilisation du secteur associatif pendant la crise sanitaire et la perception de celle-ci par les Français. De plus, l’étude COVID-19 de l’Admical indique que 95% entreprises interrogées se sont largement mobilisées. Le budget mécénat a également augmenté de 31% pour faire face à l’urgence.
Quel est votre regard sur ce décalage ?
Le titre du sondage effectué pour l’Observatoire du Don en Confiance, le dit clairement : « la France traverse une crise de défiance » et le constat c’est que cette crise n’épargne pas les associations. Ce résultat doit nous alerter bien sûr mais on peut aussi mettre ce sondage au regard de la formidable mobilisation constatée pendant le confinement : les Français ont largement répondu présents lors des appels à bénévoles et des appels à dons ciblés sur les causes en lien avec la crise sanitaire.
On peut donc distinguer la confiance de la capacité d’engagement. Le citoyen a démontré qu’il croit encore au projet collectif et qu’il souhaite y prendre part, soit au travers du bénévolat, soit au travers du don financier. Il revient donc aux associations de capitaliser sur cette solidarité active, pour entretenir et accroitre le lien de confiance, toujours fragile. La publication récente du Baromètre du mécénat de compétences montre une accélération de l’engagement citoyen en 2020, autre signe encourageant, qui doit nous rassurer. Le budget total du monde associatif représente 113,3 milliards d’euros, soit 3,3% du PIB, selon la dernière enquête de Viviane Tchernonog et Lionel Prouteau. Il tient une place importante dans notre économie !
L’enjeu aujourd’hui est de renvoyer une image forte et positive sur les acteurs de la solidarité, parce qu’ils irriguent notre société du berceau à la fin de notre vie ! N’oublions pas que 50% des crèches, 10% de nos hôpitaux, 90% des structures accueillant les enfants porteurs de handicaps, 90% des établissements culturels, et les ¾ des structures dédiées au seniors sont gérées par des associations.… Or on sait combien le travail sur l’image est long, incertain, et demande des moyens dont ne dispose pas le secteur associatif.
Car les associations sont confrontées à une double injonction contradictoire : toujours mieux répondre aux besoins sociétaux qui ne cessent d’augmenter alors que les moyens financiers sont toujours plus difficiles à trouver et que le niveau d’exigence des donateurs est toujours plus fort !
Le Label IDEAS est un véritable tiers de confiance pour les donateurs et mécènes.
En quoi ce travail de labélisation est-il essentiel ?
La labellisation proposée par IDEAS est spécifique à bien des égards, et notamment, car elle intervient au terme d’un processus long et exigeant d’accompagnement à la montée en compétences de l’organisation.
Le travail de labellisation est essentiel car il engage l’organisme candidat dans une démarche d’amélioration continue, grâce au Guide des Bonnes Pratiques IDEAS qui en fixe le cadre et le cap, et grâce à l’accompagnement des conseillers bénévoles, dans la durée. En effet, une mission de labellisation dure en moyenne 18 mois et se poursuit pendant les 3 ans que dure le Label IDEAS. La Fondation Entreprendre a d’ailleurs obtenu, pour la deuxième fois consécutive, le renouvèlement de son label en décembre dernier.
Par ailleurs, pour jouer pleinement son rôle de tiers de confiance, le Label IDEAS s’appuie sur des missions de contrôles réalisées par des professionnels indépendants.
Le Label IDEAS est donc la marque d’une organisation fiable, en mouvement, qui s’interroge et sollicite un regard externe pour s’adapter toujours mieux à l’évolution des enjeux sociaux. La vocation première du Label IDEAS est de donner à voir la qualité et le professionnalisme des associations, des fondations et des fonds de dotation.
Il s’agit de faire entendre un message positif sur les associations, les fondations, qui placent l’exigence au cœur de leur engagement solidaire, pour apporter les meilleures réponses aux besoins sociétaux.
Enfin, quels messages souhaiteriez-vous adresser en cette période difficile liée à la crise COVID-19 ?
La crise Covid-A9 a révélé la grande vulnérabilité de notre économie. On l’entend et on le constate tous les jours un peu plus, elle creuse terriblement les inégalités sociales. Parallèlement, nous (re)découvrons aussi la capacité de réponse et d’innovation des acteurs de la solidarité, en première ligne pour faire face aux besoins toujours plus criants. Soulignons que le tissu associatif est le premier lieu de recréation du lien social pour lutter contre les inégalités, la précarité…
Au travers des nombreuses initiatives associatives, nous voyons émerger, se consolider, de nouvelles façons d’agir, de nouvelles dynamiques de coopération, inter-acteurs, qui mettent l’entraide et l’intelligence collective au cœur de leurs modèles. Cette aptitude à « faire ensemble » est essentielle pour permettre la résilience de notre société et de ses citoyens qui aspirent à une nouvelle hiérarchie des valeurs, sociale et environnementale avant tout.
L’enjeu est donc de soutenir, d’encourager ces initiatives chacun dans son rôle : pouvoirs publics, entreprises, mécènes, citoyens, pour répondre à cette aspiration à une société plus juste, refondée sur la solidarité. C’est bien le rôle d’une fondation telle que la Fondation Entreprendre et de l’institut IDEAS qui ont en partage cet objectif commun : servir l’intérêt général !
Lancement du fonds UrgencESS pour les petites structures
Un fonds d'urgence de 30 millions d'euros a été mis en place en Janvier 2021 pour les associations et autres entreprises de l'ESS de moins de 10 Salariés rencontrant des difficultés liées à la crise.
Ce fonds d’urgence a été voté dans le cadre du quatrième projet de loi de finances rectificative pour 2020 en novembre dernier et a été lancé le 22 janvier 2021 par Olivia Grégoire, secrétaire d’État à l’Économie sociale, solidaire et responsable.
Cette aide permettra aux structures de l’ESS (associations, coopératives, entreprises bénéficiant de l’agrément ESUS, entreprises du champ de l’insertion par l’activité économique, entreprises ayant inscrit les principes de l’ESS dans leurs statuts) de 1 à 10 salariés de :
- Poursuivre leur activité pendant la crise,
- Financer les emplois de leurs salariés,
- Pallier les difficultés liées à la trésorerie.
Un dispositif de déploiement a été mis sur pied et sera conduit par le réseau France active avec ses 40 associations et au travers d’un guichet unique accessible sur www.urgence-ess.fr .
Tour de France des ODD les 9 et 11 février 2021
Le Tour de France des ODD, organisé par le Comité 21, poursuit sa route. Il s’arrête en Ile-de-France à l’occasion de la rencontre régionale du réseau TEDDIF les 9 et 11 Février 2021.
Ces deux matinées, en distanciel, s’attacheront à mieux comprendre les ODD, dans leur aspect transversal comme thématique. Ce sera également l’occasion de découvrir et s’inspirer des avancées, des réalisations, des projets et des outils élaborés sur le territoire pour décliner les 17 objectifs onusiens.
Programme résumé :
Deux tables rondes transversales sont prévues sur l’Agenda 2030. L’une portant sur son appropriation par les acteurs franciliens et l’autre sur la coopération qui émerge entre les territoires.
- Les ODD comme méthode d’amélioration des politiques publiques ?
- Les ODD et la RSO, comment croiser les méthodologies ?
- Les ODD au service du rapport de développement durable ?
- Les ODD comme vecteur d’éducation au développement durable
- Les ODD, un moyen de mobiliser des citoyens pour la transition écologique du territoire
- Sensibiliser aux ODD, un préalable toujours nécessaire pour mobiliser les acteurs
- L’adaptation au changement climatique et les solutions fondées sur la nature au coeur de l’Agenda 2030
- Les ODD comme outil de réduction des inégalités
[18/02] 5ème webinaire du cycle sur la (Re)connaissance des modèles socio-économiques d’intérêt général
En octobre dernier, le Rameau a lancé un programme pour découvrir ou redécouvrir la variété des modèles socio-économiques d’intérêt général. L’Institut IDEAS, partenaire du Rameau, vous invite à y participer.
WEBINAIRE
Modèles socio-économiques :
« La diversité des leviers financiers »
5 ème webinaire du cycle du programme
(Re)Connaissance des modèles socio-économiques d’intérêt général
Comment ont évolué ces dernières années la philanthropie et les financements publics ? Quelle est la variété des outils financiers mobilisables en territoire ? Où en est l’investissement sociétal ? Autant de questions auxquelles vous aurez des réponses concrètes lors de ce 5 éme webinaire du programme (Re)Connaissance des modèles socio-économiques d’intérêt général.
Jeudi 18 Février 2021
13h à 14h30
Et si vous rejoigniez l’équipe des conseillers bénévoles IDEAS ?
Leur mission : accompagner les organismes à but non lucratif pour améliorer leurs pratiques de gouvernance, de gestion financière, de pilotage et d’évaluation.
La prochaine session de formation des nouveaux conseillers aura lieu en novembre 2023. Candidatez dès à présent pour les rejoindre !
L’action des 160 Conseillers bénévoles s’inscrit dans la démarche de renforcement des capacités d’action proposée par l’Institut IDEAS aux associations, fondations, et fonds de dotation. L’objectif est de leur permettre d’obtenir Le Label IDEAS.
L’Institut IDEAS offre à ses conseillers bénévoles une formation complète sur les 90 bonnes pratiques du Guide IDEAS, ainsi qu’une « boite à outils » méthodologiques. Les conseillers sont également conviés régulièrement à des ateliers thématiques leur permettant de développer et renforcer leurs compétences et leurs connaissances sur les enjeux et les spécificités du secteur associatif.
Profil d'un conseiller bénévole
Les conseillers bénévoles d’IDEAS sont à même d’analyser la situation d’un organisme à but non lucratif, tant sur le plan financier que sur celui de son organisation et de sa performance, puis de l’accompagner dans un processus d’amélioration continue de ses pratiques, tout en tenant compte de ses contraintes et objectifs.
Les conseillers bénévoles sont des professionnels rompus à l’exercice des métiers de direction d’entité, management d’équipe, stratégie, RH, conduite du changement, gestion de projet, communication, finances, expertise comptable, commissariat aux comptes, contrôle de gestion, droit, marketing, qualité…
Ils interviennent en binôme.
Les 3 phases de l’accompagnement
Réaliser un diagnostic de l’organisme
à partir du Guide des Bonnes Pratiques.
Accompagner l’organisme dans l’optimisation de ses pratiques
par la mise en œuvre d’un plan d’actions visant notamment à produire les livrables identifiés lors du diagnostic.
Après l’obtention du Label
poursuivre l’accompagnement de l’organisme dans son amélioration continue et s’assurer de sa bonne communication autour du Label.
Découvrez le témoignage de Marie-Claude Libois, conseillère bénévole
« C’est dans le cadre professionnel que j’ai découvert et que j’ai été convaincue du bien-fondé de la démarche IDEAS, à la fois exigeant mais bienveillant.
De plus en plus, le monde associatif est confronté à l’exigence de bonnes pratiques pour communiquer la vision portée, formaliser la stratégie, mais surtout pour rendre compte tant de l’emploi des fonds que de l’efficacité de ses actions. L’utilité sociale se doit d’être portée et partagée.
Être conseillère bénévole IDEAS m’a permis de magnifiques rencontres !
Accompagner des structures est toujours source de réflexion sur différents sujets, d’échanges forts, et quelle fierté de voir progresser des structures jusqu’à obtenir ensemble le label et s’impliquer pleinement pour une amélioration continue ! Je souhaite remercier les administrateurs, salariés, bénévoles, des associations et fondations qui nous font confiance dans cet accompagnement et nous apportent tant par leur enthousiasme et leur volonté de bien faire avancer les justes causes qu’ils défendent. »
Contactez-nous pour en parler
[PANA] Associations, trouvez votre accompagnement sur les questions numériques
Découvrez le programme PANA. Son ambition : Permettre à chaque association de trouver, près de chez soi, une structure d’accompagnement en capacité de lui prêter main forte sur le numérique.
Ce programme est porté bénévolement par un collectif d’acteurs, auquel l’Institut IDEAS est heureux de contribuer.
Le programme PANA, qu’est-ce que c’est ?
Le Programme PANA (Point d’Appui au Numérique Associatif), créé par HelloAsso, Le Mouvement associatif et la Fonda a pour objectif d’accompagner les associations dans leur transition numérique en faisant monter en compétences et en fédérant les acteurs de l’accompagnement associatif des territoires sur des sujets numériques.
Qui sont les PANA ?
Un réseau d’accompagnateurs associatifs référents sur les sujets numériques partout en France.
Votre association a besoin d’être accompagnée sur un sujet numérique?
Retrouvez la liste des points d’Appui au Numérique Associatif près de chez vous.
Les PANA vous accompagnent dans votre transition numérique :
- Construire votre stratégie numérique avec un autodiagnostic
- Créer et mettre à jour votre site internet
- Protéger vos données
- Gérer votre page Facebook
- Créer une billetterie en ligne
- Mettre en place un nouvel outil numérique
- Gérer votre comptabilité sur internet
- Optimiser vos paiements en ligne
- Collaborer avec vos bénévoles sur internet
Quels moyens pour vous accompagner ?
Les PANA ont différents champs d’expertises, rendez-vous sur pana.helloasso.com pour trouver ceux qui pourront répondre à vos besoins.