L'association CAMELEON obtient pour la 2ème fois le Label IDEAS
Le mot de Laurence Ligier, fondatrice directrice de l'association CAMELEON
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« Nous sommes fiers d’être labellisés IDEAS pour la deuxième fois consécutive. Pour nous, c’est une reconnaissance du travail remarquable et impactant de nos équipes, de la qualité de notre gouvernance, de l’efficacité de nos actions toujours plus innovantes, et d’une gestion financière rigoureuse et transparente. Cette reconnaissance témoigne de l’engagement constant de nos équipes dans une démarche d’amélioration continue. Elle reflète notre volonté de consolider et pérenniser nos pratiques pour accompagner toujours plus d’enfants et répondre encore mieux à leurs besoins. Merci à nos conseillers IDEAS et au Comité Label pour leur confiance. »
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Découvrir l'association CAMELEON
Aux Philippines, CAMELEON accueille, protège, accompagne et scolarise des jeunes filles, âgées de 5 à 24 ans, victimes de violences sexuelles. Pour faire évoluer les mentalités et renforcer la protection de l’Enfance, CAMELEON réalise des actions de sensibilisation, de prévention et de plaidoyer auprès des populations et autorités locales, tout en accompagnant l’éducation des enfants et la formation professionnelle des jeunes jusqu’à l’accès à l’emploi. Elle favorise le développement socio-économique des familles.
En France, CAMELEON intervient dans des établissements scolaires et périscolaires, avec une démarche d’éducation à la citoyenneté pour sensibiliser les élèves aux droits de l’Enfant, à la prévention des violences, à l’égalité filles-garçons et à la solidarité internationale. Des actions de sensibilisation et de plaidoyer sont également menées dans le but d’éveiller les consciences sur les violences sexuelles auprès du grand public, des institutions et des pouvoirs publics.
Le LABEL IDEAS : une démarche structurante et exigeante au service de l'action
Le LABEL IDEAS atteste de la qualité des pratiques en matière de gouvernance, finances et d’évaluation.
Ce label indépendant est décerné aux associations et fondations qui répondent aux exigences du Guide IDEAS des Bonnes Pratiques.
Son référentiel, construit par les parties prenantes du secteur associatif et de la philanthropie, et des métiers du contrôle, couvre les champs clés du fonctionnement d’une organisation. Il engage l’organisme dans une dynamique d’amélioration continue pour favoriser son développement et optimiser son action. Le LABEL IDEAS est la marque d’un engagement sociétal de qualité.
Il est obtenu grâce à l’accompagnement mené par les conseillers bénévoles de l’Institut IDEAS, sur la base de contrôles externes professionnels et au terme d’une audition devant le Comité Label (organe autonome).
[Publication] Guide Pratique à destination des fondations abritantes - CFF
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Le CFF publie un Guide pratique sur le pilotage, la gestion et le suivi des fondations abritées. Il dresse un panorama de l’ensemble des étapes de la vie d’une fondation sous égide, rappelle la règlementation applicable, et met en lumière les bonnes pratiques remontées par les participants au groupe de travail.
L’Institut IDEAS est heureux d’avoir contribué à ces travaux utiles à la professionnalisation du secteur.
Faisant le constat de la rareté de la littérature sur ce sujet, et soucieux de contribuer à la professionnalisation du secteur, le Centre français des Fonds et Fondations a initié en 2022 une réflexion sur les bonnes pratiques dans l’activité d’abritement par la création d’un groupe de travail dédié.
Fruit d'un travail collaboratif
Ces travaux ont rassemblé près de 35 fondations et partenaires du secteur, et ont permis de faire un état des lieux des recommandations et points d’attention formulés par les pouvoirs publics au cours des dernières années, de les confronter aux problématiques rencontrées par les organisations du secteur, et enfin d’identifier et de partager les bonnes pratiques.
Grâce à l’implication de Christine Aubriet et d’Henri Lejetté, l’Institut IDEAS est heureux d’avoir partagé son expérience, issue de 20 ans d’accompagnement à la montée en compétences des associations, fondations, et fonds de dotation.
Un outil concret
Suite logique de ces travaux, le « Guide pratique à destination des fondations abritantes : pilotage, gestion et suivi des fondations abritées » dresse un panorama de l’ensemble des étapes de la vie d’une fondation sous égide, rappelle la règlementation applicable, et met en lumière les bonnes pratiques remontées par les participants au groupe de travail.
Il a vocation à aider les bénévoles et les professionnels de ces fondations, ainsi que les porteurs de projets philanthropiques souhaitant améliorer leur compréhension des enjeux liés à l’abritement.
Sommaire du Guide
Création des fondations abritées et rôle de l’organe de gouvernance
1/ Mise en place des fondations abritées
– Notion de fondation ayant la capacité d’abriter
– Création et dissolution des fondations abritées
– Spécificités liées à la nature des fondateurs
– Textes et documents fixant le cadre de l’abritement
2/ Gestion des fondations abritées
– Rôle de l’organe de gouvernance et suivi de l’activité des abritées
– Frais de gestion appliqués à la fondation abritée
Relation fondation abritante/abritée
– Composition et fonctionnement de l’organe
d’administration des fondations abritées
– Prévention et gestion des conflits d’intérêts
– Délégations
Suivi de l’activité et accompagnement des abritées
– Accompagnement des fondateurs et animation
du réseau d’abritées
– Reporting de l’activité des fondations abritées et remise d’un rapport spécial
Un Esprit de Famille rejoint l’Institut IDEAS en tant que membre associé
Février 2025
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Un Esprit de Famille rejoint le collège des membres associés de l'Institut IDEAS
“Nous sommes ravis d’accueillir Un Esprit de Famille comme membre associé de l’Institut IDEAS. Partageant une vision et des valeurs communes, cette adhésion va renforcer nos synergies.” déclare Marie-Bernard Delom, Présidente de l’Institut IDEAS. Elle précise que “la création du Collège des membres associés, en 2024, illustre la volonté de l’Institut IDEAS de travailler collectivement avec les acteurs engagés dans le renforcement de la qualité des pratiques associatives et philanthropiques.“
Un Esprit de Famille partage avec l’Institut IDEAS une volonté commune de professionnaliser et d’accompagner les structures philanthropiques dans leurs actions. Jean-François Rambicur, vice-président d’Un Esprit de Famille et fondateur de la Fondation ARCEAL, témoigne : “Pour Un Esprit de Famille, rejoindre l’Institut IDEAS s’inscrit dans sa volonté de continuer de contribuer à professionnaliser le travail des fondations familiales et des associations qu’elles soutiennent, au service de l’intérêt général. Nous aurons ainsi plus d’impact grâce à la compréhension et à la dissémination de bonnes pratiques en matière de gouvernance, de gestion financière et d’évaluation. La philanthropie familiale souhaite prendre toute sa place dans l’écosystème de l’intérêt général. L’Institut IDEAS y joue un rôle important pour l’amélioration et la qualité du fonctionnement des associations qui œuvrent avec le soutien des fondations familiales.“
Avec cette nouvelle adhésion, l’Institut IDEAS continue d’enrichir son Collège de membres associés et de renforcer son réseau d’acteurs engagés.
Un Esprit de Famille, en bref
Un Esprit de Famille rassemble les structures philanthropiques (fonds, fondations ou associations), créées par des personnes physiques ou des familles.
Créée en 2012, l’association permet à ses membres d’optimiser leurs pratiques, de renforcer leurs moyens et compétences pour soutenir des projets ou associations, et d’encourager le développement de la philanthropie privée par le témoignage et le soutien. L’association est la seule organisation à représenter les grands donateurs individuels en France et porte ainsi leur volonté de contribuer à l’intérêt général, et en collaboration avec les pouvoirs publics.
Un Esprit de Famille en quelques chiffres :
150 structures membres.
2 antennes régionales : Grand Sud (Marseille) et Grand Ouest (Nantes).
8 cercles de travail : Citoyenneté, Culture, Education, Environnement, Handicap, Insertion professionnelle, Jeunes / 2ème génération, Vulnérabilités.
Plus d’infos : www.unespritdefamille.org
Nouvelle campagne 2025 #SuperPouvoirDuDon
Découvrez et relayez la nouvelle campagne de France générosités
qui vise à sensibiliser le grand public sur son pouvoir d’agir.
Et si vous rejoigniez l’équipe des conseillers bénévoles IDEAS ?
Leur mission : accompagner les collaborateurs, bénévoles et salariés, des organismes à but non lucratif pour améliorer leurs pratiques de gouvernance, de gestion financière, de pilotage et d’évaluation.
La prochaine session de formation des nouveaux conseillers aura lieu en mars 2025. Candidatez dès à présent pour la rejoindre !
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L’action des 180 Conseillers bénévoles s’inscrit dans la démarche de renforcement des capacités d’action proposée par l’Institut IDEAS aux associations, fondations, et fonds de dotation. L’objectif est de leur permettre d’obtenir Le Label IDEAS.
L’Institut IDEAS offre à ses conseillers bénévoles une formation complète sur les 90 bonnes pratiques du Guide IDEAS, ainsi qu’une « boite à outils » méthodologiques. Les conseillers sont également conviés régulièrement à des ateliers thématiques leur permettant de développer et renforcer leurs compétences et leurs connaissances sur les enjeux et les spécificités du secteur associatif.
Profil d'un conseiller bénévole
Les conseillers bénévoles d’IDEAS sont à même d’analyser la situation d’un organisme à but non lucratif, tant sur le plan financier que sur celui de son organisation et de sa performance, puis d’accompagner les collaborateurs dans un processus d’amélioration continue de leurs pratiques, tout en tenant compte de leurs contraintes et objectifs.
Les conseillers bénévoles sont des professionnels rompus à l’exercice des métiers de direction d’entité, management d’équipe, stratégie, RH, conduite du changement, gestion de projet, communication, finances, expertise comptable, commissariat aux comptes, contrôle de gestion, droit, marketing, qualité…
Ils interviennent en binôme.
Les 3 phases de l’accompagnement
Réaliser un diagnostic de l’organisme
à partir du Guide des Bonnes Pratiques.
Accompagner les dirigeants dans l’optimisation de leurs pratiques
par la mise en œuvre d’un plan d’actions visant notamment à produire les livrables identifiés lors du diagnostic.
Après l’obtention du Label
poursuivre la mission d'accompagnement à l'amélioration continue et s’assurer de la bonne communication autour du Label.
Découvrez le témoignage de Marie-Claude Libois, conseillère bénévole
« C’est dans le cadre professionnel que j’ai découvert et que j’ai été convaincue du bien-fondé de la démarche IDEAS, à la fois exigeant mais bienveillant.
De plus en plus, le monde associatif est confronté à l’exigence de bonnes pratiques pour communiquer la vision portée, formaliser la stratégie, mais surtout pour rendre compte tant de l’emploi des fonds que de l’efficacité de ses actions. L’utilité sociale se doit d’être portée et partagée.
Être conseillère bénévole IDEAS m’a permis de magnifiques rencontres !
Accompagner des structures est toujours source de réflexion sur différents sujets, d’échanges forts, et quelle fierté de voir progresser des structures jusqu’à obtenir ensemble le label et s’impliquer pleinement pour une amélioration continue ! Je souhaite remercier les administrateurs, salariés, bénévoles, des associations et fondations qui nous font confiance dans cet accompagnement et nous apportent tant par leur enthousiasme et leur volonté de bien faire avancer les justes causes qu’ils défendent. »
Contactez-nous pour en parler
"Philanthropie d’utilité publique" par Yannick Blanc
Découvrez l’article de Yannick Blanc, Président du Comité Label IDEAS pour le dossier “Mécénat” de JurisAssociations n°704.
"Philanthropie d'utilité publique"
Face aux besoins grandissants d’engagement des citoyens et des acteurs privés pour répondre aux enjeux de la société et de la planète, les procédures existantes pour qualifier un projet ou une action d’intérêt général sont obsolètes. Il faut redonner sa juste place à la délibération sur l’intérêt général dans le processus législatif.
Le juge recourt à la notion d’intérêt général lorsqu’il doit qualifier une situation pour arbitrer un conflit de normes, notamment un conflit entre un droit fondamental attaché à l’individu et une norme législative d’intérêt collectif ou renvoyant à l’activité de l’État : service public, travaux publics, ordre public, domaine public. « Le juge n’évoque pas l’intérêt général lorsque cela n’apporterait rien à sa décision ou à son argumentation ; il s’appuie en revanche sur lui lorsqu’il manque d’éléments juridiques pour rendre et sans doute plus encore pour motiver sa décision. » L’intérêt général se présente comme un « régulateur » au sens littéral du terme, c’est-à-dire comme un instrument permettant de faire varier l’intensité avec laquelle on applique la norme. Il ne sert donc pas à définir, mais à apprécier.
Le champ d’utilité publique
La notion d’utilité publique intervient dans deux procédures qui n’ont apparemment aucun rapport entre elles, mais qui sont en réalité rigoureusement symétriques : la déclaration d’utilité publique (DUP) et la reconnaissance d’utilité publique (RUP). La première permet de donner un fondement légal à l’expropriation afin de construire un ouvrage public. Elle consiste à faire la démonstration que l’utilité collective d’un ouvrage prévaut sur la garantie constitutionnelle du droit de propriété et, plus largement, sur les intérêts qui pourraient s’estimer lésés par cet ouvrage : « Elle a désormais pour fonction primordiale de consacrer en tant que tel l’intérêt général qui s’attache à la réalisation d’un projet. » La seconde est l’acte juridique qui incorpore une personne morale de droit privé au champ de l’action publique, ce qui lui permet notamment de faire prévaloir son droit sur celui des héritiers. Dans la DUP, le propriétaire privé s’incline devant l’utilité publique, moyennant une juste indemnisation ; dans la RUP, la puissance publique s’incline devant l’initiative privée, moyennant le respect par celle-ci de certaines règles. Il s’agit dans les deux cas d’un décret en Conseil d’État, l’intervention de la haute assemblée qualifiant a priori l’intérêt général d’un projet que le juge administratif apprécie a posteriori.
Les limites de l’appréciation administrative et de l’encadrement fiscal
C’est donc très abusivement que l’on appelle « reconnaissance d’intérêt général » le rescrit délivré par l’administration fiscale. Les articles 200 et 238 bis du code général des impôts (CGI) ne « définissent » d’ailleurs pas l’intérêt général, mais identifient trois critères (non-lucrativité, gestion désintéressée, non-restriction de la qualité de bénéficiaire) et douze domaines d’action (philanthropique, éducatif, scientifique, social, humanitaire, sportif, familial, culturel, patrimoine artistique, égalité femmes-hommes, environnement naturel, langue et culture françaises) qui s’ajoutent au caractère d’intérêt général non défini pour permettre la déductibilité fiscale des dons.
La démarche du juge administratif et celle de la législation fiscale sont donc diamétralement opposées : le premier qualifie au cas par cas l’intérêt général d’un projet en fonction de son utilité pour le bien commun tandis que la seconde énonce une série de critères limitant a priori cette capacité d’appréciation. On comprend que le besoin de sécurité fiscale suscite la demande d’une définition légale de l’intérêt général, mais celle-ci est vouée à l’échec, le législateur ne pouvant octroyer un pouvoir d’appréciation sans limites à l’administration fiscale. Comment sortir de ce dilemme ?
Qu’il s’agisse de philanthropie, d’initiative citoyenne ou d’entrepreneuriat social, l’appréciation de l’intérêt général n’a d’effet utile que si elle est tournée vers l’avenir en s’appliquant à un projet et, dans une large mesure, à des modalités d’action nouvelles. Pour cette raison, elle ne devrait être confiée ni au juge, qui a vocation à intervenir après coup, ni à l’administration, toujours anxieuse de ne pas créer de précédent qui pourrait la lier, a fortiori à l’administration fiscale dont la mission est de veiller au grain et non de faire preuve d’audace.
Le besoin d’innovation pour changer de modèle philanthropique
La transition écologique, le vieillissement démographique, les besoins en santé publique ou en éducation sont à l’évidence des enjeux essentiels d’intérêt général de notre époque. Leur ampleur et leur complexité défient les modalités classiques de l’action collective, comme le montrent les échecs ou les insuffisances de la fiscalité (taxe carbone), des normes réglementaires (agriculture), ou de la gestion par la performance (crise d’attractivité des métiers du lien et du soin). La société a, dans ce domaine, un besoin vital d’explorations et d’innovations se situant aux limites de l’action publique, de l’initiative citoyenne et du projet entrepreneurial. L’État doit répondre à ce besoin sous contrainte budgétaire. Puisqu’il est question de déroger à des règles établies et de fiscalité, c’est au législateur qu’il revient d’encourager mais aussi de contrôler ces innovations, comme il l’a fait avec l’expérience « Territoires zéro chômeur de longue durée » (TZCLD) en autorisant, pour une durée déterminée, à déroger à l’affectation des crédits d’indemnisation du chômage sur un nombre limité de territoires, moyennant un dispositif rigoureux de suivi et d’évaluation de l’expérimentation.
Prenant appui sur le succès de cette expérience, le pouvoir législatif pourrait en élargir la logique en adoptant, à la façon d’une loi de programmation pluriannuelle, un texte fixant pour une période de trois ou cinq ans une liste « d’objectifs d’utilité publique » gérés sous forme d’appels à manifestation d’intérêt (AMI) qui donneraient à leurs lauréats la garantie, pour une durée déterminée mais renouvelable, d’un régime d’exonération fiscale sous conditions de transparence et d’évaluation. Il s’agit ici de tirer simultanément les leçons de la dynamique encore inachevée des objectifs de développement durable (ODD), de celle du crédit d’impôt recherche (CIR), efficace mais insuffisamment contrôlé, et de celle de TZCLD évoquée plus haut.
Plutôt que de vouloir à tout prix limiter la dépense fiscale générée par les actions d’intérêt général – ce qui revient à considérer qu’il ne faut pas trop en faire pour le bien commun –, il paraît plus pertinent, dans la perspective de rigueur budgétaire qui s’annonce, d’organiser la délibération collective sur les contributions alternatives à l’impôt.
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Article paru dans le dossier “Mécénat – Qui ne risque rien…” du JurisAssociations n°704 de septembre 2024.
[Interview] "Comment les associations caritatives utilisent-elles les dons ?" - Suzanne Chami sur France Culture
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Ce mercredi 8 janvier, Suzanne Chami, Déléguée Générale de l’Institut IDEAS, a eu le plaisir d’être interviewée dans l’émission « La Question du Jour » sur France Culture par Marguerite Catton.
Thème abordé : « Comment les associations caritatives utilisent-elles les dons ? »
Une belle opportunité pour souligner l’importance de doter associations et fondations des moyens nécessaires pour mener leur mission dans les meilleures conditions et répondre à leurs exigences.
L'Institut IDEAS vous souhaite une bonne année 2025 !
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En 2025, l’Institut IDEAS célèbre 20 ans d’accompagnement et de valorisation des acteurs de l’intérêt général : associations, fondations, fonds de dotation, mécènes et philanthropes.
Il y a 20 ans, l’Institut IDEAS bâtissait les conditions du dialogue fructueux entre trois univers : les acteurs de la solidarité, leurs financeurs, publics et privés, et les institutions du contrôle.
De ces regards croisés sont nés plusieurs dispositifs innovants pour soutenir la montée en compétence des personnes engagées dans les organismes à but non-lucratifs :
- le Guide IDEAS des bonnes pratiques,
- une démarche d’accompagnement à l’amélioration continue,
- des outils pédagogiques accessibles à tous,
- un programme de recherche participative,
- et le Label IDEAS, pour valoriser la qualité et l’exigence des associations, fondations et fonds de dotation.
Grâce à l’engagement des 180 conseillers bénévoles, de nos fondateurs, de nos partenaires et de nos financeurs, nous poursuivrons ensemble notre mission : renforcer la capacité d’action des acteurs de l’intérêt général !
MERCI
Nous vous donnons rendez-vous en 2025 pour célébrer notre anniversaire !
L’Institut IDEAS et HelloAsso unissent leurs forces pour faire découvrir l'Autodiag IDEAS
L’Institut IDEAS est heureux d’annoncer son partenariat avec HelloAsso. Grâce à cette collaboration, les visiteurs du blog HelloAsso vont découvrir l’Autodiag, un outil en ligne pour analyser et améliorer les pratiques de gouvernance, de gestion et d’évaluation d’un organisme à but non-lucratif.
Une vision commune pour soutenir l’intérêt général
L’Institut IDEAS et HelloAsso partagent une conviction : il est essentiel de doter les associations d’outils adaptés et de favoriser leur montée en compétences. Les associations jouent un rôle fondamental dans la construction d’une société plus solidaire et engagée. Pour remplir cette mission, elles ont besoin d’un soutien adapté et de solutions concrètes.
L’Autodiag IDEAS : un outil concret pour progresser
L’Autodiag IDEAS est un outil d’auto-évaluation dédié aux associations qui souhaitent optimiser leurs pratiques en matière de gouvernance, de gestion financière et de pilotage des actions. Accessible gratuitement en ligne, il permet d’identifier ses points forts, axes d’amélioration et de découvrir de bonnes pratiques afin de faire progresser son organisme.
Un partenariat au service des associations
Depuis sa création, HelloAsso soutient l’engagement citoyen et facilite la participation à des projets associatifs grâce à une plateforme de paiement en ligne dédiée aux associations (dons, adhésions, billetterie, financement participatif). Ce service leur est offert et il est intégralement financé par la générosité des citoyens.
En intégrant l’Autodiag IDEAS dans son blog, HelloAsso contribue à faire connaître cet outil essentiel à un large public associatif. Marie-Bernard Delom, Présidente de l’Institut IDEAS conclu : “Ensemble, nous souhaitons encourager les associations à se structurer et développer leurs compétences pour maximiser leur action au service de l’intérêt général.”
Un webinaire pour partager des bonnes pratiques
Dans le cadre de cette collaboration, l’Institut IDEAS et HelloAsso ont organisé un webinaire intitulé “Les bonnes pratiques de gouvernance pour responsables associatifs engagés”. Cet événement a permis de partager des conseils pratiques et de faire une démonstration de l’Autodiag. Le replay de ce webinaire est disponible.
La Fédération Handicap International obtient pour la 3ème fois le Label IDEAS
Le mot d'Emmanuelle Weber, directrice Gestion des risques et audits de la Fédération Handicap International
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« Nous sommes fiers d’être labellisés IDEAS pour la troisième fois consécutive. L’obtention de ce label témoigne de l’exigence que nous plaçons au cœur de notre engagement humanitaire auprès des populations les plus vulnérables. »
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Découvrir la Fédération Handicap International
Œuvrant aux côtés des personnes handicapées et des populations vulnérables, Handicap International agit et témoigne, pour répondre à leurs besoins essentiels, pour améliorer leurs conditions de vie et promouvoir le respect de leur dignité et de leurs droits fondamentaux.
Créée en 1982, Handicap International est composée d’un réseau de huit associations nationales (Allemagne, Belgique, Canada, États-Unis, France, Luxembourg, Royaume-Uni, Suisse) et d’une fédération établie en 2009.
La Fédération Handicap International assure l’animation du réseau international et la réalisation des programmes dans le monde.
Les associations du réseau ont des missions distinctes et complémentaires : l’appui aux activités, la mobilisation de l’opinion publique et la recherche de fonds institutionnels et privés destinés à la mise en œuvre de la mission sociale commune.
Le LABEL IDEAS : une démarche structurante et exigeante au service de l'action
Le LABEL IDEAS atteste de la qualité des pratiques en matière de gouvernance, finances et d’évaluation.
Ce label indépendant est décerné aux associations et fondations qui répondent aux exigences du Guide IDEAS des Bonnes Pratiques.
Son référentiel, construit par les parties prenantes du secteur associatif et de la philanthropie, et des métiers du contrôle, couvre les champs clés du fonctionnement d’une organisation. Il engage l’organisme dans une dynamique d’amélioration continue pour favoriser son développement et optimiser son action. Le LABEL IDEAS est la marque d’un engagement sociétal de qualité.
Il est obtenu grâce à l’accompagnement mené par les conseillers bénévoles de l’Institut IDEAS, sur la base de contrôles externes professionnels et au terme d’une audition devant le Comité Label (organe autonome).